Foire aux questions
« La plus grosse erreur qu’un gestionnaire peut faire c’est de reculer devant une question de principes. »
Ai-je la lecture réelle de mon entreprise, pour ce qui est des risques, de mon patrimoine et de mes états financiers ?
Est-ce que je connais mes responsabilités dans mon rôle d’administrateur ?
Mes actifs sont ils protégés ?
Ma clientèle est elle protégée en tant qu’actif ?
Serais-je en mesure de réaliser ma mission d’entreprise ?
Suis-je conscient de ce qui se passe à l’interne de mon entreprise ?
Serais-je en mesure d’assumer toutes mes responsabilités dans un contexte difficile ?
Est-ce que mes habitudes d’affaires peuvent être modifiées pour le mieux ?
Est-ce que les aspects législatif et juridique seraient encore source de soucis si je modifiais mes habitudes d’affaires ?
Pourrais-je exploiter à mon avantage les divers paliers des organisations de service gouvernementales ?
Après avoir modifié mes habitudes d’affaires, aurais-je retrouvé mon pouvoir entreprenarial ?
AFFIRMATIONS :
Une ère de changement est évidente et devrait être adaptée et appliquée à la réalité de l’entrepreneur !
La communauté entreprenariale est mal servie par les communautés professionnelles institutionnelles et gouvernementales du monde des affaires !
Trop de spécialistes pas assez de généralistes d’affaires ! (Stratèges d’affaires - Conseillers d’affaires)
La désinformation de la part des spécialistes professionnels du monde des affaires, ainsi que les propositions offertes par ces derniers, émergent de lois et règles soutenues par leurs propres corporations plutôt qu’émaner des vrais besoins des entrepreneurs … ce qui reflète un manque évident de stratégie dans les professions !
Il existe un manque de connaissance ou d’information chez l’entrepreneur, que ce soit face aux professions, aux règles, aux lois ou face à leurs représentants, pour comprendre leurs rôles réels dans le monde des affaires !
Les entrepreneurs peuvent vivre de leurs connaissances et de leur art, s’ils en font un amalgame qui donne naissance à une Cie, laquelle exploite ces avantages. Souvent ils le font dans la plus grande inconscience des responsabilités d’administrateur de la personne morale qu’est leur entreprise !
Les difficultés surgissent face aux obligations qu’imposent les départements vitaux, comme l’administration, la gestion, ainsi que tous les départements autres que son art !
L’entrepreneur a souvent des difficultés face a la lecture des résultats comptables et financiers de ses activités d’affaires !
Des difficultés sont souvent rencontrées face au pouvoir d’achat et d’emprunt !
L’ambiguïté à laquelle fait face l’entrepreneur est dûe à un trop grand nombre de consultants ou spécialistes défraîchis et coûteux, qui n’offrent aucun résultat !
Il y a constat, par l’entrepreneur, d’un manque de conseillers d’affaires possédant une expérience réelle et vécue dans un rôle d’entrepreneur comme le sien !
Majoritairement les entrepreneurs sont des décideurs intuitifs. Ils ont peu de références accessibles rapidement, ce qui crée de grandes conséquences liées directement à ce manque d’information qui devrait provenir des intervenants oeuvrant autour du monde des affaires !
Les entrepreneurs doivent reprendre leur pouvoir, afin de mieux créer la richesse et surtout s’assurer d’avoir une lecture claire de leur gestion et ce dans tous les départements vitaux afin d’en contrôler les résultats. Les entrepreneurs gagneront aussi beaucoup aussi à se prémunir des connaissances manquantes en complémentarité avec leur ART !